3 . L’éclairage

La sécurité est primordiale. C’est particulièrement vrai lorsqu’on randonne de nuit : les pièges de la route se découvrent au dernier moment.

Après avoir utilisé pendant quelques années un double éclairage à piles, j’ai finalement opté pour un vrai éclairage avec une lampe puissante de 100 Lux alimentée par un moyeu-dynamo.

La qualité d’éclairage procurée par ce système surpasse de très loin les éclairages à piles. Elle est excellente même à très basse vitesse.

Moyeu dynamo
Lampe Son Edelux

J’utilise un moyeu dynamo SON et une lampe SON Edelux.

Le moyeu dynamo ne ralentit pas la roue de manière perceptible. Lorsqu’on donne une impulsion à la roue, elle tourne aussi longtemps qu’une autre montée sur un moyeu classique. Selon les constructeurs, rouler avec un moyeu dynamo n’absorberait que 1 Watt de puissance.

Comme il me reste environ 449 W de puissance instantanée et 299 W de puissance continue. il me reste de la marge…

Non, je ne suis pas vantard ou alors juste un petit peu !

L’optique SON EDELUX, outre son faisceau d’éclairage large et uniforme, présente l’avantage d’un allumage automatique, mais il est possible aussi de forcer l’allumage et évidemment de l’éteindre.

Dans les zones où une faible luminosité est détectée par la cellule, la lampe s’allume et vous signale aux autres usagers. C’est une solution très efficace lors d’un passage en tunnel ou sous une voute d’arbres. (à l’attention de l’entreprise SON  si elle souhaite me sponsoriser : R.I.B. disponible à la rubrique téléchargement)

Pour me signaler à l’arrière, toujours vêtu du très seyant gilet réfléchissant, je n’hésite pas à multiplier les éclairages (diodes alimentées par piles).

Le feu le plus puissant, est installé à demeure sur le porte bagages, le second amovible est fixé sur le casque. Le dernier est vissé sur un œillet des bases du triangle arrière.

Enfin en saison hivernale, j’ajoute un bracelet lumineux sur mon mollet gauche, ou sur le mollet droit lorsque je randonne dans la brumeuse Grande Bretagne. Accoutré ainsi, les autres usagers perçoivent immédiatement que je suis cycliste.

Je n’ai jamais compris la raison du sobriquet « Sapin de Noël »  dont certains compagnons de route me gratifient, car je ne porte des guirlandes que pour la randonnée du solstice d’hiver.




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