À l’origine, lorsque mon éclairage était plus rudimentaire, j’ai connu les angoisses du rechargement des accessoires le soir à l’arrivée dans un hébergement.
Dans les chambres d’hôtel le nombre de prises est parfois limité. Il faut alors trimballer dans son sac une multiprise et un chargeur adéquat pour que chaque coéquipier puisse recharger son portable, les piles pour l’éclairage ou pour une batterie de secours. Bref, ça clignote dans tous les sens et ça me gène pour dormir malgré les kilomètres avalés pendant la journée.
Le choix d’un éclairage fixe, m’a alors conduit à reconsidérer la manière d’assurer mon autonomie électrique.
Comme beaucoup de français, je vis entre plusieurs centrales nucléaires. Aussi vous comprendrez aisément la raison qui m’a porté à choisir une énergie alternative propre.
Mon kit d’autonomie électrique est constitué par un moyeu-dynamo, un transformateur type E-werk, une batterie au Lithium 10 000 milliampères à double sortie, et des câbles USB adaptés à chacun de mes appareils (GPS, Smartphone, appareil photos). Cette configuration matérielle pour assurer mon autonomie électrique est commune à beaucoup de randonneurs pratiquant la longue distance. |
Pendant la journée je recharge complètement ma batterie tampon à l’aide du moyeu dynamo. Le transformateur est intercalé entre le moyeu et la batterie pour prévenir tout risque de surcharge.
Au besoin, je procède à une recharge du GPS ou de tout autre appareil en l’alimentant par la batterie tampon. J’évite de brancher en direct les appareils à recharger.
Le moyeu dynamo de marque SON que j’utilise depuis plusieurs années n’a jamais failli. Le moyeu SHUTTER PRECISION, un peu moins cher à l’achat est également très performant même à basse vitesse.