1 . Choix de l’itinéraire

Je procède d’abord par une étude globale des cartes papier en fixant quelques points de passage incontournables (Ponts sur les grands cours d’eau, choix des vallées empruntées, cols à franchir). Ces quelques choix cruciaux déterminent sommairement l’itinéraire et permettent déjà d’en percevoir le niveau de difficulté.

Puis j’engage une étude plus fine du parcours à l’aide d’Openrunner, de Brouter ou ou de EDP-parcours. (Ces applications de définition de tracé sont décrites à la rubrique « Outils de planification d’itinéraire » avec les liens pour y accéder ).

Nationale à l’Est, Départementale au centre, chemin blanc à L’ouest ?

L’étude consiste à comparer par approches successives des variantes de parcours pour trouver le meilleur compromis possible entre attrait et difficulté, sans perdre de vue les impératifs de ravitaillement et d’hébergement.

Considérant que la randonnée longue distance est suffisamment éprouvante physiquement (Distance moyenne de 280 km/jour sur une diagonale), je prévois presque systématiquement de dormir dans un lit au terme de chaque étape. Ce critère m’oblige à fixer assez tôt dans mon projet le lieu d’hébergement. Il détermine la longueur et la dénivelée des étapes et peut m’amener à reconsidérer le parcours choisi.

Dans cette démarche itérative, pour chaque étape, je réadapte au besoin le tracé en examinant à très grande échelle les cartes informatisées en libre accès.

Disponibles pour tous les pays d’Europe, leur niveau de détail est équivalent à celle des cartes d’état major (échelle 1/25000° de la carte IGN). Cette précision me permet de corriger des erreurs éventuelles de placement de points aboutissant à des anomalies sur la trace du parcours.

À l’issue de cette étude, les adaptations successives aboutissent à un tracé optimisé qui fixe mon parcours de manière quasi définitive.




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